J’ai rencontré LOUIS NAHI à l’occasion de cet entretien destiné à lui demander de bien vouloir figurer au catalogue d’ECCE OVUM et pourtant nous nous connaissions de vue depuis longtemps car c’est une figure certains diront, un quart de figure de Lille.
Son chapeau et sa pipe sont célèbres, ce qui l’est moins c’est son histoire et celle de sa démarche artistique dénuée de tout compromis.
Né à Nantes en 1938 ce peintre autodidacte connaîtra l’éblouissement du soleil d’Algérie avant les brumes du Nord, le service aux autres avant l’ermitage, un itinéraire classique que « le hasard » réserve à ceux capable de servir l’art.
Depuis 1964 Louis expose dans le Nord de la France et de ses nombreuses récompenses il préfère le premier prix septentrion décerné par ses paires en 1971.
L’œuvre de Louis Nahi raconte une histoire qui se transmet par le regard.
Femmes, hommes ou bêtes, ils vous observent sans amour ni haine, sans cruauté ni tendresse, et cette évanescence devient le miroir de vos propres émotions.
Ces regards il est impossible de les oublier !
Regards souvenirs qui expriment le trouble du jeune enfant s’apercevant que tous les visages sont différents et impénétrables, qu’ils portent chacun leur part de vérité et de mensonge.
Regards qui charment (au sens magique du terme) et vous transforment en spectateur de votre propre histoire.
Depuis les premiers temps de son œuvre, les corps sont célébrés, corps de femmes nues pudiques ou lascifs qui évoquent une histoire chaque fois renouvelée entre le peintre et ses modèles.
Le fond sans mise en scène cerne la femme dans sa vérité, il la met en lumière par un savant travail des couleurs.
Louis Nahi peint les être avec calme et tendresse, ce qu’il réussit à capter c’est plus que l’âme, c’est l’essence de leurs rêves…
Son chapeau et sa pipe sont célèbres, ce qui l’est moins c’est son histoire et celle de sa démarche artistique dénuée de tout compromis.
Né à Nantes en 1938 ce peintre autodidacte connaîtra l’éblouissement du soleil d’Algérie avant les brumes du Nord, le service aux autres avant l’ermitage, un itinéraire classique que « le hasard » réserve à ceux capable de servir l’art.
Depuis 1964 Louis expose dans le Nord de la France et de ses nombreuses récompenses il préfère le premier prix septentrion décerné par ses paires en 1971.
L’œuvre de Louis Nahi raconte une histoire qui se transmet par le regard.
Femmes, hommes ou bêtes, ils vous observent sans amour ni haine, sans cruauté ni tendresse, et cette évanescence devient le miroir de vos propres émotions.
Ces regards il est impossible de les oublier !
Regards souvenirs qui expriment le trouble du jeune enfant s’apercevant que tous les visages sont différents et impénétrables, qu’ils portent chacun leur part de vérité et de mensonge.
Regards qui charment (au sens magique du terme) et vous transforment en spectateur de votre propre histoire.
Depuis les premiers temps de son œuvre, les corps sont célébrés, corps de femmes nues pudiques ou lascifs qui évoquent une histoire chaque fois renouvelée entre le peintre et ses modèles.
Le fond sans mise en scène cerne la femme dans sa vérité, il la met en lumière par un savant travail des couleurs.
Louis Nahi peint les être avec calme et tendresse, ce qu’il réussit à capter c’est plus que l’âme, c’est l’essence de leurs rêves…